Conséquences :
Solutions :
L’instruction EXPOSE
dans le Dockerfile informe Docker que le conteneur écoute sur les ports réseau au lancement. L’instruction EXPOSE
ne publie pas les ports. C’est une sorte de documentation entre la personne qui construit les images et la personne qui lance le conteneur à propos des ports que l’on souhaite publier.
Par défaut les conteneurs n’ouvrent donc pas de port même s’ils sont déclarés avec EXPOSE
dans le Dockerfile.
Pour publier un port au lancement d’un conteneur, c’est l’option -p <port_host>:<port_guest>
de docker run
.
Instruction port:
d’un compose file.
Un réseau bridge est une façon de créer un pont entre deux carte réseaux pour construire un réseau à partir de deux.
Par défaut les réseaux docker fonctionne en bridge (le réseau de chaque conteneur est bridgé à un réseau virtuel docker)
par défaut les adresses sont en 172.0.0.0/8, typiquement chaque hôte définit le bloc d’IP 172.17.0.0/16 configuré avec DHCP.
Serveur DNS et DHCP intégré dans le “user-defined network” (c’est une solution IPAM)
Donne un nom de domaine automatique à chaque conteneur.
Mais ne pas avoir peur d’aller voir comment on perçoit le réseau de l’intérieur. Nécessaire pour bien contrôler le réseau.
ingress
: un loadbalancer automatiquement connecté aux nœuds d’un Swarm. Voir la doc sur les réseaux overlay.
Aujourd’hui il faut utiliser un réseau dédié créé par l’utilisateur (“user-defined bridge network”)
--network
de docker run
networks:
dans un docker composerOn peut aussi créer un lien entre des conteneurs
--link
de docker run
link:
dans un docker composerIl existe :
volume
docker volume ls
docker volume inspect
docker volume prune
docker volume create
docker volume rm
Lorsqu’un répertoire hôte spécifique est utilisé dans un volume (la syntaxe -v HOST_DIR:CONTAINER_DIR
), elle est souvent appelée bind mounting (“montage lié”).
C’est quelque peu trompeur, car tous les volumes sont techniquement “bind mounted”. La particularité, c’est que le point de montage sur l’hôte est explicite plutôt que caché dans un répertoire appartenant à Docker.
Exemple :
docker run -it -v /tmp/data:/data ubuntu /bin/bash
cd /data/
touch testfile
exit
ls /tmp/data/
VOLUME
dans un Dockerfile
L’instruction VOLUME
dans un Dockerfile
permet de désigner les volumes qui devront être créés lors du lancement du conteneur. On précise ensuite avec l’option -v
de docker run
à quoi connecter ces volumes. Si on ne le précise pas, Docker crée quand même un volume Docker au nom généré aléatoirement, un volume “caché”.
Pour partager des données on peut monter le même volume dans plusieurs conteneurs.
Pour lancer un conteneur avec les volumes d’un autre conteneur déjà montés on peut utiliser --volumes-from <container>
On peut aussi créer le volume à l’avance et l’attacher après coup à un conteneur.
Par défaut le driver de volume est local
c’est-à-dire qu’un dossier est créé sur le disque de l’hôte.
docker volume create --driver local \
--opt type=btrfs \
--opt device=/dev/sda2 \
monVolume
On peut utiliser d’autres systèmes de stockage en installant de nouveau plugins de driver de volume. Par exemple, le plugin vieux/sshfs
permet de piloter un volume distant via SSH.
Exemples:
docker volume create -d vieux/sshfs -o sshcmd=<sshcmd> -o allow_other sshvolume
docker run -p 8080:8080 -v sshvolume:/path/to/folder --name test someimage
Ou via docker-compose :
volumes:
sshfsdata:
driver: vieux/sshfs:latest
driver_opts:
sshcmd: "username@server:/location/on/the/server"
allow_other: ""
FROM debian
RUN groupadd -r graphite && useradd -r -g graphite graphite
RUN mkdir -p /data/graphite && chown -R graphite:graphite /data/graphite
VOLUME /data/graphite
USER graphite
CMD ["echo", "Data container for graphite"]
--volume-from
prune
car il reste un conteneur qui y est lié