apt
en lançant:$ sudo apt update
$ sudo apt install software-properties-common
$ sudo apt-add-repository --yes --update ppa:ansible/ansible
$ sudo apt install ansible
ansible --version
=> 2.8.x
ansible all -m ping
. Que signifie-t-elle ?-vvv
pour mettre en mode très verbeux. Ce mode est très efficace pour débugger lorsqu’une erreur inconnue se présente. Que se passe-t-il avec l’inventaire ?ansible
en vous connectant à votre machine localhost
et en utilisant le module ping
.hotelocal ansible_host=127.0.0.1
dans l’inventaire par défaut (le chemin est indiqué dans). Et pinguer hotelocal.Lorsqu’on développe avec Ansible il est conseillé de le gérer comme un véritable projet de code :
inventory.cfg
ou hosts
et une configuration locale au projet ansible.cfg
Nous allons créer un tel projet de code pour la suite du tp1
tp1
sur le Bureau.Open Folder...
Nous sommes maintenant prêts à créers des fichiers pour notre projet Ansible.
Vagrant est un outil pour créer des VMs (ou conteneurs) à partir de code. Son objectif est de permettre la création d’environnement de développement / DevOps reproductibles et partageables.
Pour utiliser Ansible nous avons justement besoin de machine vituelles à provisionner. Nous allons utiliser Vagrant et Virtualbox pour créer plusieurs serveurs.
curl -fsSL https://apt.releases.hashicorp.com/gpg | sudo apt-key add -
sudo apt-add-repository "deb [arch=amd64] https://apt.releases.hashicorp.com $(lsb_release -cs) main"
sudo apt-get update && sudo apt-get install vagrant
Vagrantfile
contenant le code suivant:Vagrant.configure("2") do |config|
config.vm.synced_folder '.', '/vagrant', disabled: true
config.ssh.insert_key = false # to use the global unsecure key instead of one insecure key per VM
config.vm.provider :virtualbox do |v|
v.memory = 512
v.cpus = 1
end
config.vm.define :ubu1 do |ubu1|
# Vagrant va récupérer une machine de base ubuntu 20.04 (focal) depuis cette plateforme https://app.vagrantup.com/boxes/search
ubu1.vm.box = "ubuntu/focal64"
ubu1.vm.hostname = "ubu1"
ubu1.vm.network :private_network, ip: "10.10.10.11"
end
config.vm.define :centos1 do |centos1|
# Vagrant va récupérer une machine de base ubuntu 20.04 (focal) depuis cette plateforme https://app.vagrantup.com/boxes/search
centos1.vm.box = "geerlingguy/centos7"
centos1.vm.hostname = "centos1"
centos1.vm.network :private_network, ip: "10.10.10.12"
end
end
Utilisez la commande vagrant up
pour démarrer la machine.
Entrainez vous à allumer, éteindre, détruire la machine et vous y connecter en ssh en suivant ce tutoriel: https://les-enovateurs.com/vagrant-creation-machines-virtuelles/. (pensez également à utiliser vagrant --help
ou vagrant <commande> --help
pour découvrir les possibilités de la ligne de commande vagrant).
Remarques pratiques sur Vagrant :
vagrant global-status --prune
Vagrantfile
à l’intérieur de la VM dans le dossier /vagrant
. Les scripts et autres fichiers de votre projet sont donc directement accessibles dans la VM.Pour se connecter en SSH avec Ansible nous allons donc utiliser l’utilisateur vagrant et une clé SSH (non sécure) ajoutée automatiquement à chaque box Vagrant. Cette clé est disponible dans le dossier ~/.vagrant.d/insecure_private_key
.
Essayez de vous connecter à ubu1
et centos1
en ssh avec l’option -i ~/.vagrant.d/insecure_private_key
pour vérifier que la clé ssh est bien configurée et vérifiez dans chaque machine que le sudo est configuré sans mot de passe avec sudo -i
.
Un projet Ansible implique généralement une configuration Ansible locale décrite dans un fichier ansible.cfg
. Ainsi, la configuration est versionnée avec git en même temps que le code et l’infrastructure devient portable entre les ordinateurs des différents développeurs/DevOps.
ansible.cfg
avec à l’intérieur:[defaults]
inventory = ./inventory.cfg
roles_path = ./roles
host_key_checking = false # nécessaire pour les labs ou on créé et supprime des machines constamment avec des signatures SSH changées.
inventory.cfg
comme spécifié dans ansible.cfg
et ajoutez à l’intérieur nos machines ubu1
et centos1
d’après ce modèle:ubu1 ansible_host=<ip_ubu1>
centos1 ansible_host=<ip_centos1>
[all:vars]
ansible_user=<user>
ansible_ssh_private_key_file=~/.vagrant.d/insecure_private_key
Ansible cherche la configuration locale dans le dossier courant. Conséquence: on lance généralement toutes les commandes ansible depuis la racine de notre projet.
Dans le dossier du projet, essayez de relancer la commande ad-hoc ping
sur:
adhoc_lab
et ajoutez les deux machines ubu1
et centos1
dedans.ping
sur le groupe de deux machines.ansible.cfg
. Cependant on peut aussi utiliser une connexion par mot de passe et préciser l’utilisateur et le mot de passe dans l’inventaire ou en lançant la commande.En précisant les paramètres de connexion dans le playbook il et aussi possible d’avoir des modes de connexion (ssh, winrm, lxd, docker, etc) différents pour chaque machine.
adhoc_lab
, centos_hosts
et ubuntu_hosts
avec deux machines dans chacun. (utilisez pour cela [adhoc_lab:children]
)[all:vars]
ansible_user=vagrant
ansible_ssh_private_key_file=~/.vagrant.d/insecure_private_key
[ubuntu_hosts]
ubu1 ansible_host=<ip>
[centos_hosts]
centos1 ansible_host=<ip>
[adhoc_lab:children]
ubuntu_hosts
centos_hosts
Dans un inventaire ansible on commence toujours par créer les plus petits sous groupes puis on les rassemble en plus grands groupes.
Nous allons maintenant installer nginx
sur les 2 machines. Il y a plusieurs façons d’installer des logiciels grâce à Ansible: en utilisant le gestionnaire de paquets de la distribution ou un gestionnaire spécifique comme pip
ou npm
. Chaque méthode dispose d’un module ansible spécifique.
apt
car centos utilise yum
. Pour éviter ce problème on peut utiliser le module package
qui permet d’uniformiser l’installation (pour les cas simples).
--become
pour devenir root avant d’exécuter la commande (cf élévation de privilège dans le cours2)nginx
epel-release
sur la machine centos.nginx
. Que remarque-t-on ?systemd
et l’option --check
pour vérifier si le service nginx
est démarré sur chacune des 2 machines. Normalement vous constatez que le service est déjà démarré (par défaut) sur la machine ubuntu et non démarré sur la machine centos.L’option --check
à vérifier l’état des ressources sur les machines mais sans modifier la configuration`. Relancez la commande précédente pour le vérifier. Normalement le retour de la commande est le même (l’ordre peu varier).
Lancez la commande avec state=stopped
: le retour est inversé.
Enlevez le --check
pour vous assurer que le service est démarré sur chacune des machines.
Visitez dans un navigateur l’ip d’un des hôtes pour voir la page d’accueil nginx.
Il existe trois façon de lancer des commandes unix avec ansible:
le module command
utilise python pour lancez la commande.
le module shell
utilise un module python qui appelle un shell pour lancer une commande.
le module raw
.
creates
pour simuler de l’idempotence.Créez un fichier dans /tmp
avec touch
et l’un des modules précédents.
Relancez la commande. Le retour est toujours changed
car ces modules ne sont pas idempotents.
Relancer l’un des modules shell
ou command
avec touch
et l’option creates
pour rendre l’opération idempotente. Ansible détecte alors que le fichier témoin existe et n’exécute pas la commande.
ansible adhoc_lab --become -m "command touch /tmp/file" -a "creates=/tmp/file"